David Laurent a toujours été un fan de cinéma, dès l'age de 5 ans, cela l'émerveillait. Il va très tôt avec le caméscope de ses parents, demander à ces amis de collège, à faire des sketchs voire court métrage dont un certain titre « Requiem for a killer » qui contient des plans/raccord/transition simple pour lui apprendre le métier.

A l'age de ces 16 ans, au lycée, il intègre le club de théâtre, qu'il officiera pendant deux ans, passant même avec l'accord des metteurs en scène sur la seconde année, en tant qu'assistant metteur en scène pour continuer d'expérimenter d'apprendre la mise en scène et le jeu d'acteur. Il y aura plusieurs pièces de joués lors de ces deux années comme « Songe d'une nuit d'été » de Shakespeare, "Antigone" ou bien encore du Molière.

Il enchaînera après ces 2 ans de théâtre, sur le premier court métrage de Nicolas Polyxene, « 365 », pour ces études de cinéma de l'école EICAR, en tant que premier rôle.

Le bac en poche, il décide ensuite d’enchaîner sur une année d'étude au cours Florent, et d’enchaîner quelques figurations sur plusieurs courts métrages comme « Help me » de Ludovic Baron ou « La horde » de Yannick Dahan, « Damned next » et « Flander's company » de Ruddy Pomarede et pour peaufiner son apprentissage, de discuter avec figurants ou réalisateurs, pour apprendre et surtout s'améliorer sur la partie technique, et prendre contact avec des acteurs/trices. Cela lui a permis de connaître Kenny Bernard avec qui il collabore pendant un an sur « Clash Nanar », une webserie/chronique sur youtube aux 5000 vues en moyenne.

Sa chaîne Total Pacboy lui permettra d’expérimenter entre chronique et fiction, la mise en scène, le montage, le documentaire... (dont une webserie demandé par le site Bazoocam, des documentaires sur Jackie Chan (10 vidéos avec 3h d'archives, interviews, anecdotes), Akira Toriyama, le Polar HK (45 minutes) ou Sono Sion dont celui ci dure 1h06 etc...) Si les tournages externes continuent, son envie de refaire des courts métrage se fait ressentir, il recommencera avec l’expérience « CinePac » où il joue le rôle principal, il officiera en tant que réalisateur et cette fois ci petit rôle sur le remake de son premier court « Requiem for a killer » en co-réalisation avec Rick Jacquet (réalisateur de deux longs métrage "Life" et "Agression") et « Paranoia » seul en 2015.

Il enchaînera avec les courts métrages suivant en 2016 avec « Je suis une délivrance », « Paranoia 2 » et « Pale Luna » (plus de 12 000 vues). Et deux ans plus tard avec un épisode pilote d'une webserie « Alone », qu'il souhaite dorénavant transformer en long métrage.

Fin 2021, sortie de covid et d'un déménagement, il va recommencer avec un petit sketch « Who want to kill me », Il fera la réalisation/mise en scène/montage d'un épisode de « French Lolita » avant d’enchaîner sur le tournage de 3 courts métrages en 2022 : « RIA » (qui sera nominé au festival Hallucinea), « Look Back » et « Love Isabella ».

Il sera assistant réalisateur sur « le 13 » de Hue Xan, perchman sur « Les insoupçonnables » de Cécile Neth, et régisseur entre 2022/2023 sur la pièce « j'suis pas jalouse mais ». Pour enfin finir 2022 avec la réalisation et le montage du clip "Lycanthropia" de Damien Guillard. Avant de commencer 2023 par réalisé et monté le premier court métrage de Pierre Sacquet « Redemption » en 2023 et de préparer sa web série « TwiKiller ». (15 épisodes en préparation)

Acteur, metteur en scène, réalisateur, technicien, monteur, polyvalent et disponible, il enchaîne les futurs projets pour 2023, réalisation d'un long documentaire "H.P. FOR EVER" pour Emmanuel Karsen (voix de Norman Reedus et Sean Penn entre autre), réalisation scénario de son premier long métrage « Making on ». Deux autres courts métrages sont prévus pour 2023 "Oh mon doux bébé" un thriller malsain, et un polar action à la sauce Johnnie To : "Don't fuck with a father". Il prépare aussi 2024 avec l'écriture de sa première pièce de théâtre, et d'autres courts métrages (« it's party time », « la mort passif », « fucking shit ») ou long comme « Alone ».