Shitty Night
How would you like to accept a young girl and her grandfather as carpoolers on your route? On the face of it, they're a friendly duo, but when one of them is lying in an urn, it could be the harbinger of a "shitty" night.
In 1823, in a church, a priest loses his life in front of his canvas, painted
with the blood of his last victim. The painting has the ability to possess the souls who look at it. 2 centuries later, our characters Sophie, Marius, Kévin and Jade encounter this painting, turning their night into Shitty Night.
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Théo DrieuxDirector
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Joseph IgneciogluDirector
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Eloïse LeVouedecWriter
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Célina SisowathProducer
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Sophie PerronKey Cast"Fleur"
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Aubry DullinKey Cast"Kevin"
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Lisa MaddalenoKey Cast"Jade"
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Tancrède HollingtonKey Cast"Marius"
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Project Title (Original Language):Shitty Night
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Project Type:Short, Student
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Genres:Comédie, Horror, horreur, fantastique
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Runtime:22 minutes 7 seconds
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Completion Date:June 1, 2024
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Production Budget:8,500 EUR
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Country of Origin:France
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Country of Filming:France
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Language:English, French
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Shooting Format:Digital
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Aspect Ratio:16:9
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Film Color:Black & White and Color
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First-time Filmmaker:Yes
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Student Project:Yes - MJM Graphic Design
Théo Drieux : Né le 6 Mars 2000 à Strasbourg, Théo est élevé par ses deux parents. Dès son plus jeune âge, il est bercé dans le monde du cinéma par son père, grand fan de film de genre, très vite il se découvre alors lui-même une grande passion pour les films de genre et plus particulièrement par les films fantastiques et les films d’horreur. Théo est depuis toujours un grand passionné d’art.
Il entre en 2019 en alternance dans une marque de vêtement dans laquelle il débute la vidéo. Pour ap- prendre au mieux le métier, il s’inscrit alors à MJM Graphic Design et se découvre une passion pour l’image et la mise en scène. Il allie alors sa grande passion pour l’art et la peinture au cinéma.
Lors de son cursus il entame alors la créations de son premier court-métrage Shitty Night avec une équipe entièrement composée d’étudiants afin de le présenter lors des oraux de fin d’années pour l’obtention du diplôme.
Entre temps, il se lance également dans la réalisation de clip vidéo pour de jeune artiste pour lui permettre de s’exprimer créativement sans limite.
Aujourd’hui Théo Drieux à choisit de s’orienter vers le métier de Directeur de la Photographie tout en gar- dant la réalisation dans un coin de sa tête pour un futur court ou long métrage.
Joseph Ignecioglu :
Joseph Ignecioglu, né le 15 octobre 1998 à Nogent-Sur-Marne, un passionné de cinéma qui a transformé son admiration précoce pour l’art cinématographique en un réel objectif de contribuer significativement à cet univers.
Après avoir décroché son BAC ES, il a concrétisé son rêve en intégrant une école spécialisée dans le domaine cinématographique, où il a perfectionné ses compétences en montage, production et écriture.
En parallèle de ses études, il a rejoint une société de production en alternance, accélérant ainsi son pro- fessionnalisme et élargissant sa perspective dans le vaste monde du cinéma. Ses expériences en tant qu’assistant réal et chargé de production sur de véritables plateaux de tournage ont renforcé son enga- gement envers son art.
Sa passion pour la vidéo et la création artistique a commencé à l’âge de 13 ans, lorsqu’il a reçu son premier ordinateur. En tant qu’autodidacte, il a maîtrisé des logiciels tels que Photoshop, After Effects et Premiere Pro, jetant ainsi les bases de son expertise technique.
Il a puisé ses inspirations artistiques dans les classiques du cinéma, notamment les films de Spielberg tels qu’Indiana Jones et les Goonies de Richard Donner, ainsi que les premiers James Bond ou encore Goodfellas de Scorsese.
Sa vision artistique vise à faire du cinéma une aire de jeux où la créativité est primordiale. Il croit en la né- cessité de vivre, manger et dormir cinéma pour créer des œuvres authentiques qui transcendent la réalité et transmettent des vérités profondes de la vie.
Théo Drieux :
Passionné par le cinéma d’horreur depuis très petit et baigné dans la saga Halloween, Vendredi 13 ou encore Evil Dead par mon père qui a lui même hérité de cette passion de ma grand mère qui est une grande fan de film de genre et plus particulièrement de film d’horreur depuis son plus jeune. Elle qui m’a d’ailleurs fait découvrir les premiers films d’horreur tels que Nosferatu, La nuit des Mort vivants ou encore Frankenstein. de ces découvertes est venu mon admiration pour l’expressionnisme Allemand et ses ma- gnifiques clairs obscurs tel un tableau de Gustave Doré.
A mes 7 ans, j’ai regardé pour la première fois avec mon père «The Mist» de Franck Darabont et depuis ce jour jusqu’à mes 18 ans, c’était notre rendez vous du Samedi soir. Chaque week-end un nouveau film d’horreur.
En grandissant j’ai toujours eu l’envie au fond de moi de réaliser mon film d’horreur, je me suis donc as- socié avec Joseph Ignecioglu, passionné de comédie pour la réalisation de SHITTY NIGHT. De là est née l’idée de faire une comédie d’horreur. Nous nous sommes donc mis à analyser tous les clichés qui revenaient dans les films de genre pour les retranscrire de manière humoristique dans le SHITTY NIGHT.
Pour nos inspirations cinématographiques j’ai tout simplement repensé à tous les classiques que ma grand-mère et mon père m’avaient fait découvrir. Evil Dead pour son côté décalé / gore. Vendredi 13 pour son incontournable vue subjective. Et enfin Halloween pour son charismatique antagoniste Mickael Myers.
Pour l’ambiance visuel du film nous avons voulu rester dans une mise en scène sérieuse avec une image léchée à la «Hurlement» de Joe Dante. Il était important pour nous de garder cet aspect sérieux dans l’image afin d’apporter un côté décalé dans le dialogue et les actions des personnages.
Le but étant de créer de constante montagne russe transportant le spectateur d’un genre à l’autre en passant de la comédie, à l’horreur, à la romance en un claquement de doigt.
Pour les personnages de SHITTY NIGHT, nous avons choisi d’identifier les clichés du cinéma d’horreur mais tout en gardant un côté premier degré aux caractères des personnages. Il était important pour nous de jongler entre l’horreur et la comédie afin que le spectateur soit toujours surpris et ne s’attende jamais au moment de comédie ou de romance.
Mais SHITTY NIGHT a pour nous une intention plus profonde, il n’est qu’une vaste critique de la société actuelle et du cinéma français d’aujourd’hui. Il met en scène un réalisateur mégalomane égocentrique qui casse les codes.
Pour nous, Shitty Night à dépasser les limites d’un projet étudiant, Nous avons investi plus d’une année entière à ce court métrage en espérant pouvoir l’emmener plus loin que ce pour quoi il à était créé à la base. Passant d’un simple projet de fin d’études à une première grosse et belle expérience qui nous per- mettra on l’espère de mettre un pied dans le cinéma.
Joseph Ignecioglu :
La genèse de notre court métrage "Shitty Night" remonte à un projet de fin d'année avec Théo Drieux, co-ré- alisateur du film. Mêlant l'horreur et la comédie, Théo et moi avons créé une œuvre imprégnée d'une touche "américaine" avec l'ambition de s'en approcher, inspirés par les grandes productions cinématographiques.
La collaboration clé pour moi est incontestablement Théo Drieux, sans qui la réalisation de "Shitty Night" n'aurait pas été possible. Notre partenariat fructueux s'est prolongé au-delà du court métrage, témoi- gnant de la force de notre collaboration.
"Shitty Night", débutant en 1823 dans une église avec un prêtre mystérieux, transporte le public en 2023 dans une comédie d'horreur où des événements étranges se déroulent lors d'une pause routière. La nar- ration, oscillant entre le macabre et le comique, témoigne de ma créativité distinctive en tant que cinéaste.
Ma vision artistique vise à faire du cinéma une aire de jeux où la créativité est primordiale. Je crois en la nécessité de vivre, manger et dormir cinéma pour créer des œuvres authentiques qui transcendent la réalité et transmettent des vérités profondes de la vie.
Dans ce film, nous avons choisi d’intégrer de grosse référence à mission cleopatre, la cité de la peur ...
Il était important pour nous de garder un côté sérieux et premier degré dans le jeu des personnages et dans l’image et l’ambiance du court métrage afin d’apporter ce côté décalé au film au moment des pas- sages de comédies.
Nous tenions à utiliser notre budget afin d’avoir le meilleur rendu d’image et de s’éloigner un maximum du film «étudiant» et de montrer aux gens qu’avec un petit budget, nous pouvons faire de belles choses.
Quant à mes objectifs futurs, j'aspire à poursuivre sur cette lancée fructueuse avec ma propre société de production. Mon désir est de continuer à me faire plaisir en réalisant des projets qui me passionnent, que ce soit dans la fiction, la publicité ou les clips, sans me fermer à aucune opportunité.